J'ai pris du retard dans mon recit de la remise en état de cette BMW 2002. Voilà donc ce qui s'est passé autour des 21 & 23 mars dernier...
Suite des opérations avec la dépose du train arrière, dernière étape indispensable avant la mise en peinture de toutes les entrées de la voiture pour éviter du masquage supplémentaire et surtout pour pouvoir gratter le plancher et les passages de roues AR.
La dépose du berceau AR ne pose pas de problème particulier, c'est de la grosse mécanique et ça je sais faire.
En premier lieu il suffit de déboulonner les deux tirants du berceau pour pouvoir passer deux chandelles près de silents-blocs.
Suite des opérations avec la dépose du train arrière, dernière étape indispensable avant la mise en peinture de toutes les entrées de la voiture pour éviter du masquage supplémentaire et surtout pour pouvoir gratter le plancher et les passages de roues AR.
La dépose du berceau AR ne pose pas de problème particulier, c'est de la grosse mécanique et ça je sais faire.
En premier lieu il suffit de déboulonner les deux tirants du berceau pour pouvoir passer deux chandelles près de silents-blocs.
Ensuite on lève :
Les deux boulons de fixation du pont après la caisse viennent facilement (douille de 17) :
Ensuite (quoiqu'on peut l'avoir fait avant) on dépose les freins AR, indispensable pour retirer les cables de frein à main, sous peine d'avoir l'air franchement bête une fois le pont suspendu aux câbles ! J'ai beau savoir que c'est précisement le principe... mais pas dans le cas qui nous occupe !
La c'était bien dégueu et plein de rouille, il a fallu user du marteau pour aider les tambours à sortir. Je ne vais même pas m'embeter à récupérer les freins de la bleue, ce sera cylindres de roues et garnitures neuves, autant ne pas mégoter sur le freinage d'autant qu'il y a une promo freinage chez Walloth en ce moment...
Quant aux flexibles, j'ai attendu d'avoir abaissé le berceau pour les défaire (clés de 11 & 14) pour gagner en accessibilité.
Retirer les amortos est un jeu d'enfant en devissant les deux écrous de 14 qui sont dans le coffre. Les ressorts (ici passablement raccourcis) viennent tout seuls...
Après s'être glissé une fois de plus sous la caisse pour oter le silent-bloc intermédiaire de l'arbre de transmission, il suffit de baisser le cric et...
...voilà un train AR plein de terre et de rouille... Beurk ! Sans arbre et sur chariot, ce sera plus facile de le karchériser, mais avec délicatesse, ça n'est pas une banlieue ! ;o)
Avant d'en finir pour aujourd'hui, quelques images de la caisse poncée et prête à peindre, en apprêt pour commencer, la teinte définitive devant suivre :
Prochain épisode : refection du train AR.
Mais avant un petit coucou à ma bleue qui est retourné dans sa remise ou je pourrait continuer tranquilement le démontage des quelques morceaux qui me seront indispensables...
Quant aux flexibles, j'ai attendu d'avoir abaissé le berceau pour les défaire (clés de 11 & 14) pour gagner en accessibilité.
Retirer les amortos est un jeu d'enfant en devissant les deux écrous de 14 qui sont dans le coffre. Les ressorts (ici passablement raccourcis) viennent tout seuls...
Après s'être glissé une fois de plus sous la caisse pour oter le silent-bloc intermédiaire de l'arbre de transmission, il suffit de baisser le cric et...
...voilà un train AR plein de terre et de rouille... Beurk ! Sans arbre et sur chariot, ce sera plus facile de le karchériser, mais avec délicatesse, ça n'est pas une banlieue ! ;o)
Avant d'en finir pour aujourd'hui, quelques images de la caisse poncée et prête à peindre, en apprêt pour commencer, la teinte définitive devant suivre :
Prochain épisode : refection du train AR.
Mais avant un petit coucou à ma bleue qui est retourné dans sa remise ou je pourrait continuer tranquilement le démontage des quelques morceaux qui me seront indispensables...
à suivre...
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