15 novembre 2005

Motomne

Espiègles feuilles de l'automne
Qui viennent se nicher sous mes roues,
Me font glisser, je leur pardonne
Tant qu'la gamelle n'est pas au bout !

2 commentaires:

les docs du LEM a dit…

Comme dirait une copine (charmante au demeurant, mais là n'est pas le propos) : oh ! c'est mimi ! C'est de la poésie motorisée... en tout cas, moi, j'aime beaucoup !!!

Kawasakid a dit…

...et une variante possible pour le dernier vers, dans un français un peu plus académique mais hélas moins motard, qui plus est avec un plus grand respect de la métrique pourrait être celui-ci :

Tant que la chute n'est pas au bout

... d'un autre côté la métrique je me torche avec !